Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Pause prière - pause regard - Page 36

  • Pause prière - pause regard, jeudi 29 novembre 2012

    La prière n’est pas autre chose qu’une rencontre avec le Christ. Nous nous y entretenons avec Lui comme avec un ami. Pour autant, ce tête-à-tête n’invite ni à l’isolement, ni à la négligence. Il refuse d’exclure autrui… Bien au contraire ! Le monde dans lequel nous vivons, les autres, sont présents dans ce dialogue qui se déroule dans l’intimité de notre prière, riche d’un élan fraternel et universel.

    En effet, notre premier service, en qualité de sœurs et frères de la Communion Béthanie, est la prière quotidienne. A cette occasion, nous Lui présentons notre peuple homosensible et transgenre, comme nous Lui recommandons tous nos frères et sœurs en humanité : leurs attentes, leur espérance ainsi que leurs souffrances. Certes, nous ne sommes pas des spécialistes, mais nous essayons de répondre à nos mesures à cette invitation : « Priez les uns pour les autres. » (Jc 5, 16).

    Ainsi la prière nous relie-t-elle les uns aux autres, de façon discrète mais fructueuse, ouverte à tous comme respectueuse de l’identité – ou du pudique anonymat – de chacun.

    Les sœurs et frères de la Communion Béthanie

    ______________________________________

     

    Ecouter quelqu'un, c'est se mettre en position d'attente,
    accueillir celui qui est là, devant soi, l'accueillir avec son sac débordant du linge plus ou moins propre de sa vie,
    c'est accepter qu'il entre chez moi,
    qu'il fracture même les portes les plus secrètes,
    c'est recevoir l'autre, ses rêves et ses désirs,
    c'est prévoir qu'il dérange les étagères si rigoureusement rangées de mon existence,
    c'est lui donner la place,
    c'est lui présenter les clés de la maison,
    comme pour dire : « Ta présence met tout à l'envers !
    Je prends le risque : je t'écoute !
    Les paroles que tu me diras seront pour moi esprit et vie ! ».
    Seigneur, apprends-moi cette qualité d'écoute.

    ecouter_victor_hugo.jpg

    En ta tendresse infinie, Père, par Jésus le Christ, nous te prions pour le nouveau Conseil de notre Communion Béthanie : Jean-Michel, prieur, B., sous-prieure, P., sous-prieur, M., frère accompagnateur du temps l'Accueil et de Nazareth, P., conseiller théologique, S. et P.,  la mère de notre frère E., G., sa famille, nos ami(e)s A., V., F.-X. en leur fête, P., son ami J.B., nos nouvelles sœurs E., A.-M., leur famille, notre mère B., sa communauté carmélitaine, N.e, S. très éprouvée par le décès de son fils, le groupe de Devenir Un en Christ de Marseille en deuil, C., la nièce de notre amie B., leur famille, la nièce de notre amie I., B. en son anniversaire, la grande famille spirituelle de notre frère Charles de Foucauld, les personnes vivant avec le VIH, leurs accompagnateurs en ce 1er décembre.



  • Pause prière - pause regard, jeudi 22 novembre 2012

    La prière n’est pas autre chose qu’une rencontre avec le Christ. Nous nous y entretenons avec Lui comme avec un ami. Pour autant, ce tête-à-tête n’invite ni à l’isolement, ni à la négligence. Il refuse d’exclure autrui… Bien au contraire ! Le monde dans lequel nous vivons, les autres, sont présents dans ce dialogue qui se déroule dans l’intimité de notre prière, riche d’un élan fraternel et universel.

    En effet, notre premier service, en qualité de sœurs et frères de la Communion Béthanie, est la prière quotidienne. A cette occasion, nous Lui présentons notre peuple homosensible et transgenre, comme nous Lui recommandons tous nos frères et sœurs en humanité : leurs attentes, leur espérance ainsi que leurs souffrances. Certes, nous ne sommes pas des spécialistes, mais nous essayons de répondre à nos mesures à cette invitation : « Priez les uns pour les autres. » (Jc 5, 16).

    Ainsi la prière nous relie-t-elle les uns aux autres, de façon discrète mais fructueuse, ouverte à tous comme respectueuse de l’identité – ou du pudique anonymat – de chacun.

    Les sœurs et frères de la Communion Béthanie

    ______________________________________

     

    DIEU, c’est ce que savent les enfants.

    Il y a quelque chose dans le monde qui résiste au monde et cette chose ne se trouve ni dans les églises, ni dans les cultures, ni dans la pensée que les hommes ont d’eux-mêmes, dans la croyance mortifère qu’ils ont d’eux-mêmes en tant qu’êtres sérieux, adultes, raisonnables et cette chose n’est pas une chose mais Dieu et Dieu ne peut tenir dans rien sans aussitôt l’ébranler, le mettre bas et Dieu immense ne sait tenir que dans les ritournelles d’enfance, dans le sang perdu des pauvres ou dans la voix des simples et tous ceux-là tiennent Dieu au creux de leurs mains ouvertes, un moineau trempé comme du pain par la pluie, un moineau transi, criard, un Dieu piailleur qui vient manger dans leurs mains nues.

    Dieu, c’est ce que savent les enfants, pas les adultes.

    Christian Bobin
    Le très bas


    En ta tendresse infinie, Père, par Jésus le Christ, nous te prions pour nos amies C., K. en photo_enfant.jpgleur fête, S. très éprouvée par le décès de son fils, C., les personnes en quête spirituelle,
    nos sœurs E. et A.-M. qui vivront leur célébration d'Accueil en ce dimanche 25 novembre,
    la fécondité de notre rencontre chez nos sœurs du C., nos amis C., L., les membres de nos familles, N., nos ami(es) journalistes, les personnes en recherche d'emploi, la paix sociale en France, L., T.(7 ans) gravement malades, celles et ceux qui les accompagnent.



  • Pause prière - pause regard, jeudi 15 novembre 2012

    La prière n’est pas autre chose qu’une rencontre avec le Christ. Nous nous y entretenons avec Lui comme avec un ami. Pour autant, ce tête-à-tête n’invite ni à l’isolement, ni à la négligence. Il refuse d’exclure autrui… Bien au contraire ! Le monde dans lequel nous vivons, les autres, sont présents dans ce dialogue qui se déroule dans l’intimité de notre prière, riche d’un élan fraternel et universel.

    En effet, notre premier service, en qualité de sœurs et frères de la Communion Béthanie, est la prière quotidienne. A cette occasion, nous Lui présentons notre peuple homosensible et transgenre, comme nous Lui recommandons tous nos frères et sœurs en humanité : leurs attentes, leur espérance ainsi que leurs souffrances. Certes, nous ne sommes pas des spécialistes, mais nous essayons de répondre à nos mesures à cette invitation : « Priez les uns pour les autres. » (Jc 5, 16).

    Ainsi la prière nous relie-t-elle les uns aux autres, de façon discrète mais fructueuse, ouverte à tous comme respectueuse de l’identité – ou du pudique anonymat – de chacun.

    Les sœurs et frères de la Communion Béthanie

    ______________________________________

     

    L’Essentiel est caché...
    on n’en parle pas dans les écoles…
    on n’en parle pas à la télévision...
    on ne le trouve pas sur Internet...


    L’Essentiel est sans éclats...
    ne suscite pas
    les applaudissements...
    ne fait pas l’unanimité…


    L’Essentiel ne va pas de soi...
    on s’en laisse distraire facilement...
    très souvent l’Essentiel dérange...


    L’Essentiel est gratuit...
    ne se met pas en réserve...
    ne se marchande pas…


    L’Essentiel est ce qui est
    le plus fragile... le plus menacé...
    le plus désarmé...


    L’Essentiel est difficile et tout à fait
    à la portée d’un enfant...
    l’enfant que j’ai été en savait autant
    que moi sur l’Essentiel...
    Heureux ceux qui vivent l’Essentiel!

    André Hippolyte BUFFET
    extrait du Numéro 38 - www.InfoCatho.be

     

    fragilite.jpgEn ta tendresse infinie, Père, par Jésus le Christ, nous te prions pour H. et C., frère J.-E., G.-A., sa famille, nos amies C. en leur fête, notre frère M., N., nos sœurs et frères religieux en cette fête de la Présentation de Marie, C., M., P., sa famille, la réconciliation dans notre société et dans les Eglises, que nous devenions artisans de paix.


    photo Céline Fouchet

  • Pause prière - pause regard, jeudi 8 novembre 2012

    La prière n’est pas autre chose qu’une rencontre avec le Christ. Nous nous y entretenons avec Lui comme avec un ami. Pour autant, ce tête-à-tête n’invite ni à l’isolement, ni à la négligence. Il refuse d’exclure autrui… Bien au contraire ! Le monde dans lequel nous vivons, les autres, sont présents dans ce dialogue qui se déroule dans l’intimité de notre prière, riche d’un élan fraternel et universel.

    En effet, notre premier service, en qualité de sœurs et frères de la Communion Béthanie, est la prière quotidienne. A cette occasion, nous Lui présentons notre peuple homosensible et transgenre, comme nous Lui recommandons tous nos frères et sœurs en humanité : leurs attentes, leur espérance ainsi que leurs souffrances. Certes, nous ne sommes pas des spécialistes, mais nous essayons de répondre à nos mesures à cette invitation : « Priez les uns pour les autres. » (Jc 5, 16).

    Ainsi la prière nous relie-t-elle les uns aux autres, de façon discrète mais fructueuse, ouverte à tous comme respectueuse de l’identité – ou du pudique anonymat – de chacun.

    Les sœurs et frères de la Communion Béthanie

    ______________________________________

     

    Contempler l’humilité de Dieu, c’est voir resplendir la gloire de ses images, à laquelle dans l’orgueil nous demeurons aveugles. Chaque homme est l’image de Dieu, et nous ne cessons les uns avec les autres, en tout ce que nous faisons, de la reconnaître ou de la méconnaître...

    Etre humble, c’est donc savoir qui est l’autre, une image unique et insaisissable de Dieu, sans jamais me poser moi-même en mesure de son être et de sa vie, sans jamais prétendre détenir par devers moi la vérité de ce qu’il est. Savoir et non savoir vont ici de pair : savoir qui est l’autre comme image de Dieu, c’est avoir à tout instant à l’apprendre, dans le respect, humblement ; ne pas prétendre savoir ce qu’il est, c’est renoncer à me faire la mesure de lui-même en le comparant à moi, et donc encore le respecter.

    Voir l’autre comme image de Dieu, c’est en effet le voir comme une image qui n’a pas été faite de main d’homme ni de pensée humaine, le voir comme une image proprement inimaginable, dépassant chacune de mes prises. C’est voir au-delà de ce qu’on voit et de ce qu’on peut voir, ce qui s’appelle aimer et espérer. L’humilité a les yeux de l’amour, qui traversent l’obscurité patiemment, car elle sait elle-même de quelles ténèbres elle a par amour été tirée. Un libère sur parole ne saurait se poser en juge, et nous sommes tous des libérés sur parole, puisque seule la Parole de Dieu libère.

    Libre pour l’autre, l’humilité l’est aussi en ce qu’elle n’a pas à s’interroger sur ses propres ressources, puisque ce n est pas en elles qu’elle puise. L’appel même que nous adresse la détresse d’autrui est, par la grâce de Dieu, dispensateur de la force pour y répondre : aussi n’y a-t-il pas a craindre qu’elle fasse défaut, ce qui serait le cas s’il s’agissait de la nôtre. Lorsque nous en appelons les uns aux autres de notre pauvreté, nous devenons riches de la richesse de Dieu. Elle ne peut être gardée, et n’existe qu’en circulant: nous ne l’avons qu’en l’aliénant.

    Ce qui ne signifie pas qu’aussitôt qu’on l’a, il faille par devoir l’aliéner, mais qu’elle n’est là qu’en étant donnée.

    Jean Louis Chrétien in « le Regard de l’amour ».

    saints.jpg

     En ta tendresse infinie, Père, par Jésus le Christ, nous te prions pour É., C., M., C., dans leur parcours contre la maladie, notre ami W., ses intentions, nos sœurs du Carmel de la Paix,
    frère A., frère B., nos frères de Taizé visités par notre frère prieur, H., C., S. et A., P. et A., leurs enfants, K., nos amis É. et D., B. et J.-D., L.-M. nos ami(es) musulmans qui viennent de fêter Aïd el Kébir, nos sœurs, frères défunts, T., P., les personnes de notre peuple en marche sur leur chemin d'éternité, R. très éprouvé, S. et leur famille, nos ami(es) malades, L., sa famille, G. en sa fête, R., D., leur famille, B.-M., sœur M. nouvelle prieure, nos sœurs de Reuilly, père P., tous nos pasteur(es).


  • Pause prière - pause regard, jeudi 25 octobre 2012

    La prière n’est pas autre chose qu’une rencontre avec le Christ. Nous nous y entretenons avec Lui comme avec un ami. Pour autant, ce tête-à-tête n’invite ni à l’isolement, ni à la négligence. Il refuse d’exclure autrui… Bien au contraire ! Le monde dans lequel nous vivons, les autres, sont présents dans ce dialogue qui se déroule dans l’intimité de notre prière, riche d’un élan fraternel et universel.

    En effet, notre premier service, en qualité de sœurs et frères de la Communion Béthanie, est la prière quotidienne. A cette occasion, nous Lui présentons notre peuple homosensible et transgenre, comme nous Lui recommandons tous nos frères et sœurs en humanité : leurs attentes, leur espérance ainsi que leurs souffrances. Certes, nous ne sommes pas des spécialistes, mais nous essayons de répondre à nos mesures à cette invitation : « Priez les uns pour les autres. » (Jc 5, 16).

    Ainsi la prière nous relie-t-elle les uns aux autres, de façon discrète mais fructueuse, ouverte à tous comme respectueuse de l’identité – ou du pudique anonymat – de chacun.

    Les sœurs et frères de la Communion Béthanie

    ______________________________________

     

    Enseigne-nous le silence
    La maîtrise de l'âme et du corps
    Ni dedans, ni dehors,
    Que le bruit n'empêche en nous l'Esprit
    D'écouter la Présence.

    Enseigne-nous la patience,
    L'humble attente, l'effort de la foi.
    Qu'un regard sur la croix
    Dans l'amour, nous presse à notre tour
    De pardonner l'offense.

    Enseigne-nous l'espérance,
    Le désir de répondre à l'appel
    Qui sonne, éternel,
    Dans le fond de notre être profond.
    Que toute âme s'élance

    Hymne à sainte Claire, extraite de la liturgie de la fête de sainte Claire le 11 août.

    esperance_ile.jpg


    En ta tendresse infinie, Père, par Jésus le Christ, nous te prions pour D., sa santé, notre frère M., C., la fille de notre ami S., leur famille, notre soeur C., la journée de rencontre du Diocèse de Créteil en ce 25 octobre, C., son travail d'éditeur, Virginie, R., S., le ministère de notre frère prieur, nos soeurs du Carmel de la Paix à Mazille, notre mère B., sa santé.



    photo Antony Spencer

  • Pause prière - pause regard, jeudi 18 octobre 2012

    La prière n’est pas autre chose qu’une rencontre avec le Christ. Nous nous y entretenons avec Lui comme avec un ami. Pour autant, ce tête-à-tête n’invite ni à l’isolement, ni à la négligence. Il refuse d’exclure autrui… Bien au contraire ! Le monde dans lequel nous vivons, les autres, sont présents dans ce dialogue qui se déroule dans l’intimité de notre prière, riche d’un élan fraternel et universel.

    En effet, notre premier service, en qualité de sœurs et frères de la Communion Béthanie, est la prière quotidienne. A cette occasion, nous Lui présentons notre peuple homosensible et transgenre, comme nous Lui recommandons tous nos frères et sœurs en humanité : leurs attentes, leur espérance ainsi que leurs souffrances. Certes, nous ne sommes pas des spécialistes, mais nous essayons de répondre à nos mesures à cette invitation : « Priez les uns pour les autres. » (Jc 5, 16).

    Ainsi la prière nous relie-t-elle les uns aux autres, de façon discrète mais fructueuse, ouverte à tous comme respectueuse de l’identité – ou du pudique anonymat – de chacun.

    Les sœurs et frères de la Communion Béthanie

    ______________________________________

     

    Je te salue, Marie !
    Permets qu'un protestant le fasse :
    une fois n'est pas coutume.
    D'ordinaire, les Ave Maria nous restent en travers de la gorge !
    Il faut dire qu'on t'a donné tant de visages,
    et habillée avec tant de diversité,
    que nous avons, nous, du mal à te reconnaître.

    Je te salue, Marie, ma sœur.
    Non pas ma mère, mais ma grande sœur qui me prend par la main
    pour me conduire dehors, sur la grand-place, pour y rencontrer ton fils
    et inlassablement tu me répètes: "Fais ce qu'il te plaira".
    Toi qui fais confiance: "Qu'il m'arrive selon ta parole !"
    Toi dont la prière est émerveillement et louange.

    Je te salue, Marie.
    Comme l'ange je te nomme : graciée, gracieuse.
    C'est là ton secret et ta vérité.
    Sur ton visage, tu sais recevoir cette lumière
    et ce mystère que nous appelons: amour de Dieu.
    Pour toi, pour moi, pour nous tous
    tu reçus ce don: Jésus, Emmanuel.

    Je te salue, Marie !

    Louis Lévrier


    marie.jpgEn ta tendresse infinie, Père, par Jésus le Christ, nous te prions pour David & Jonathan, qui fête leur 40e anniversaire, nos amis L., R. en leur fête, S. très éprouvée et les siens, B. sur son chemin d'éternité, la communauté éducative du lycée S.-T.A., notre frère M., M.-J., S. et C., C., A., D., P., M. lors de ses examens, H., ses parents, B. son travail de journaliste, notre ami M., nos ami(es) personnes agées, la paix, la réconciliation en notre monde, en nos Eglises, sœur T., ses communautés monastiques, en France et au Bénin.



  • Pause prière - pause regard, jeudi 11 octobre 2012

    La prière n’est pas autre chose qu’une rencontre avec le Christ. Nous nous y entretenons avec Lui comme avec un ami. Pour autant, ce tête-à-tête n’invite ni à l’isolement, ni à la négligence. Il refuse d’exclure autrui… Bien au contraire ! Le monde dans lequel nous vivons, les autres, sont présents dans ce dialogue qui se déroule dans l’intimité de notre prière, riche d’un élan fraternel et universel.

    En effet, notre premier service, en qualité de sœurs et frères de la Communion Béthanie, est la prière quotidienne. A cette occasion, nous Lui présentons notre peuple homosensible et transgenre, comme nous Lui recommandons tous nos frères et sœurs en humanité : leurs attentes, leur espérance ainsi que leurs souffrances. Certes, nous ne sommes pas des spécialistes, mais nous essayons de répondre à nos mesures à cette invitation : « Priez les uns pour les autres. » (Jc 5, 16).

    Ainsi la prière nous relie-t-elle les uns aux autres, de façon discrète mais fructueuse, ouverte à tous comme respectueuse de l’identité – ou du pudique anonymat – de chacun.

    Les sœurs et frères de la Communion Béthanie

    ______________________________________

     

    Seigneur, aujourd'hui je te prie
                 de me désarmer de la volonté d'avoir toujours raison,
                 de me justifier en disqualifiant les autres.

    Apprends-moi,
                  à ne pas être constamment sur mes gardes,
                  à ne pas me crisper jalousement sur mes richesses.

    Mets en mon cœur ta paix
    qui chassera ma peur.

    Apprends-moi,
                  à accueillir et à partager,
                  à ne pas particulièrement tenir à mes idées, à mes projets,
                  et surtout si l'on m'en présente de bons,
                  de les accepter sans regret.

    Que ce qui est bon, vrai et réel,
    soit toujours pour moi le meilleur.

    D'après le patriarche Athénagoras


    En ta tendresse infinie, Père, par Jésus le Christ, nous te prions pour A., E., F., les réfugiésconfiance.jpg qui fuient leur pays en raison de leur homosexualité, S. et F., N. notre ami, M., A., Ab., les enfants qui ne sont pas nés, les personnes au chômage, les jeunes qui recommencent une année d'étude, G. en sa fête, nos sœurs et frères du Carmel qui fêtent sainte Thérèse de Jésus, M.-L., M., leur famille, R., notre amie D. en convalescence, l'accueil du concile Vatican II en nos communautés, le désir d'annoncer, en le vivant, le souffle de l'Évangile.



  • Pause prière - pause regard, jeudi 4 octobre 2012

    La prière n’est pas autre chose qu’une rencontre avec le Christ. Nous nous y entretenons avec Lui comme avec un ami. Pour autant, ce tête-à-tête n’invite ni à l’isolement, ni à la négligence. Il refuse d’exclure autrui… Bien au contraire ! Le monde dans lequel nous vivons, les autres, sont présents dans ce dialogue qui se déroule dans l’intimité de notre prière, riche d’un élan fraternel et universel.

    En effet, notre premier service, en qualité de sœurs et frères de la Communion Béthanie, est la prière quotidienne. A cette occasion, nous Lui présentons notre peuple homosensible et transgenre, comme nous Lui recommandons tous nos frères et sœurs en humanité : leurs attentes, leur espérance ainsi que leurs souffrances. Certes, nous ne sommes pas des spécialistes, mais nous essayons de répondre à nos mesures à cette invitation : « Priez les uns pour les autres. » (Jc 5, 16).

    Ainsi la prière nous relie-t-elle les uns aux autres, de façon discrète mais fructueuse, ouverte à tous comme respectueuse de l’identité – ou du pudique anonymat – de chacun.

    Les sœurs et frères de la Communion Béthanie

    ______________________________________

     

    Récite ton chapelet, dit DIEU,
    Et ne te soucie pas de ce que raconte tel écervelé :
    Que c'est une dévotion passée et qu'on va abandonner.

    Cette prière-là, je te le dis
    Est un rayon de l'Evangile :
    On ne me le changera pas.

    Ce que j'aime dans le chapelet, dit Dieu,
    C'est qu'il est simple et qu'il est humble.
    Comme fut mon Fils.
    Comme fut ma Mère.

    Récite ton chapelet : tu trouveras à tes côtés
    Toute la compagnie rassemblée en l'Evangile :
     La pauvre veuve qui n'a pas fait d'études
    Et le publicain repentant qui ne sait plus son catéchisme,
    La pécheresse effrayée qu'on voudrait accabler,
    Et tous les éclopés que leur foi a sauvés,
    Et les bons vieux bergers, comme ceux de Bethléem,
    Qui découvrent mon Fils et sa Mère...

    Récite ton chapelet, dit Dieu,
    Il faut que votre prière tourne, tourne et retourne,
    Comme font entre vos doigts les grains du chapelet.

    Alors, quand je voudrai, je vous l'assure,
    Vous recevrez la bonne nourriture,
    Qui affermit le cœur et rassure l'âme.

    Allons, dit Dieu, récitez votre chapelet
    Et gardez l'esprit en paix.

    Charles Péguy


    abbatiale.jpgEn ta tendresse infinie, Père, par Jésus le Christ, nous te prions pour S. sur son chemin d'éternité, A., G., B., M., M.-D., C., J.-A., nos sœurs, frères, de la famille de saint François, frère M., le nouveau ministre général de l'Ordre, les moniales, les moines de Chartreuse en cette fête de saint Bruno, notre ami B., M., les pèlerins du Rosaire à Lourdes, nos amis D. en leur fête, notre frère J.-L.-M., G., la mère de notre frère E., H., L., C., F., M., notre frère S., J.


    Eglise des sœurs de Bethléem

  • Pause prière - pause regard, jeudi 27 septembre 2012

    La prière n’est pas autre chose qu’une rencontre avec le Christ. Nous nous y entretenons avec Lui comme avec un ami. Pour autant, ce tête-à-tête n’invite ni à l’isolement, ni à la négligence. Il refuse d’exclure autrui… Bien au contraire ! Le monde dans lequel nous vivons, les autres, sont présents dans ce dialogue qui se déroule dans l’intimité de notre prière, riche d’un élan fraternel et universel.

    En effet, notre premier service, en qualité de sœurs et frères de la Communion Béthanie, est la prière quotidienne. A cette occasion, nous Lui présentons notre peuple homosensible et transgenre, comme nous Lui recommandons tous nos frères et sœurs en humanité : leurs attentes, leur espérance ainsi que leurs souffrances. Certes, nous ne sommes pas des spécialistes, mais nous essayons de répondre à nos mesures à cette invitation : « Priez les uns pour les autres. » (Jc 5, 16).

    Ainsi la prière nous relie-t-elle les uns aux autres, de façon discrète mais fructueuse, ouverte à tous comme respectueuse de l’identité – ou du pudique anonymat – de chacun.

    Les sœurs et frères de la Communion Béthanie

    ______________________________________

     

    Détresse

    Ca suffit :
    j'en ai assez
    d'être à la disposition de tout le monde,
    de faire rire
    alors que mon cœur est aux pleurs !

    J'en ai assez
    de préparer la fête pour les autres,
    d'être sur la brèche
    toujours veiller au bien-être d'autrui
    alors que je m'use
    et que personne ne devine la tristesse
    qui me fêle la vie !

    J'en ai assez de crier et de chanter
    et d'organiser la danse
    alors que mon désir va vers le silence !

    J'en ai assez
    de relever et de consoler
    tous les fatigués et les désolés
    alors que je tiens à peine debout
    agrippé aux fils tordus de chaque jour !

    J'en ai assez
    d'annoncer l'Évangile
    comme dans un désert
    où personne n'écoute !
    J'en ai assez
    de toi aussi, Seigneur,
    toujours invisible,
    toujours caché,
    toujours à fuir le contact
    et moi qui n'aime et ne vis et ne crois
    qu'en touchant et qu'en voyant
    de tout près !

    Détresse, Seigneur !
    Détresse


    En ta tendresse infinie, Père, par Jésus le Christ, nous te prions en cette fête de saintdetresse-a-mille-regards.jpg Vincent de Paul, pour les personnes au service de leur prochain, notre amie A.-M., C. en difficulté, notre ami R., nos frères M.-P., J.-M. en leur fête, père P., L., en leur anniversaire, nos sœurs et frères du Carmel dans la joie de fêter Thérèse de Lisieux, M.-L., E. en marche vers notre Communion Béthanie, notre ami L.-M., les membres de HM2F, nos ami(e)s juifs en cette fête de Souccoth, P., P., L., F., C., L., Y., C. et J. dans la crise qu'ils vivent.


  • Pause prière - pause regard, jeudi 20 septembre 2012

    La prière n’est pas autre chose qu’une rencontre avec le Christ. Nous nous y entretenons avec Lui comme avec un ami. Pour autant, ce tête-à-tête n’invite ni à l’isolement, ni à la négligence. Il refuse d’exclure autrui… Bien au contraire ! Le monde dans lequel nous vivons, les autres, sont présents dans ce dialogue qui se déroule dans l’intimité de notre prière, riche d’un élan fraternel et universel.

    En effet, notre premier service, en qualité de sœurs et frères de la Communion Béthanie, est la prière quotidienne. A cette occasion, nous Lui présentons notre peuple homosensible et transgenre, comme nous Lui recommandons tous nos frères et sœurs en humanité : leurs attentes, leur espérance ainsi que leurs souffrances. Certes, nous ne sommes pas des spécialistes, mais nous essayons de répondre à nos mesures à cette invitation : « Priez les uns pour les autres. » (Jc 5, 16).

    Ainsi la prière nous relie-t-elle les uns aux autres, de façon discrète mais fructueuse, ouverte à tous comme respectueuse de l’identité – ou du pudique anonymat – de chacun.

    Les sœurs et frères de la Communion Béthanie

    ______________________________________

     

    S'aimer soi-même, c'est aimer Dieu en soi.
    Dieu qui est au fond de soi et qui est là,
    qui attend qu'on lui ouvre la porte de son cœur.

    Car Dieu est souvent enfermé dans notre cœur,
    il ne peut en sortir.

    On dit toujours: « Entre Seigneur ! »
    Moi, je dirais plutôt:
    « Sors, Seigneur et sois vivant en moi. »

    Florilège de Michael Lonsdale


    coeur en pierre.jpegEn ta tendresse infinie, Père, par Jésus le Christ, nous te prions pour A., A., P., un couple confié à notre prière, P., notre ami C., la publication de son livre ce jeudi, M., notre ami M. en leur fête, notre frère M., S., G., V., nos amiEs suisses en cette fête de saint Nicolas de Flüe, la famille de notre ami R., P., A., M.-L., notre mère B., mère T., leur communauté monastique, C. et M., notre frère M.-P., son ministère.