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Pause prière - pause regard, jeudi 14 février 2013

La prière n’est pas autre chose qu’une rencontre avec le Christ. Nous nous y entretenons avec Lui comme avec un ami. Pour autant, ce tête-à-tête n’invite ni à l’isolement, ni à la négligence. Il refuse d’exclure autrui… Bien au contraire ! Le monde dans lequel nous vivons, les autres, sont présents dans ce dialogue qui se déroule dans l’intimité de notre prière, riche d’un élan fraternel et universel.

En effet, notre premier service, en qualité de sœurs et frères de la Communion Béthanie, est la prière quotidienne. A cette occasion, nous Lui présentons notre peuple homosensible et transgenre, comme nous Lui recommandons tous nos frères et sœurs en humanité : leurs attentes, leur espérance ainsi que leurs souffrances. Certes, nous ne sommes pas des spécialistes, mais nous essayons de répondre à nos mesures à cette invitation : « Priez les uns pour les autres. » (Jc 5, 16).

Ainsi la prière nous relie-t-elle les uns aux autres, de façon discrète mais fructueuse, ouverte à tous comme respectueuse de l’identité – ou du pudique anonymat – de chacun.

Les sœurs et frères de la Communion Béthanie

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« Souviens-toi que tu es poussière et que tu retourneras en poussière »,
Gn 3, 19

Les cendres rappellent la fragilité de ceux qui marchent.

Elles disent la fatigue de la route et l'exigence de la traversée.

Elles font mémoire des coups et des blessures.

Elles racontent le rameau brûlé du péché.

Recevoir les cendres, tendre la main, présenter son front,
c'est dire je suis ouvert, je suis friable, je suis sale, je suis noir,
je suis poussiéreux, je suis desséché, je trébuche,
mais je marche.

Gabriel Ringlet

 

En ta tendresse infinie, Père, par Jésus le Christ, nous te prions pour M. sur son chemincendres.jpg d'éternité, sa famille, ses ami(e)s en deuil, C., une amie de notre frère M., C., C., M., leur santé, notre ami C. en sa fête, les membres de la Conférence catholique des baptisés de France, S., notre mère B. en sa fête, J., sa santé, O., B., B., L., A., F., B., C., son épouse, ses enfants E., C., notre amie F., son ministère auprès des jeunes, sœur B.-M., sa communauté trinitaire, nos frères dominicains au service du Carême dans la ville, la route de ce Carême 2013, qu'il soit un temps de joie sous Ton Regard, présent dans le secret.


Commentaires

  • Bonnes pensées mais si Jésus-Christ revenait, il serait chaussé de sandales, habillé simplement de bure, il fréquenterait les pauvres, ne roulerait pas en Mercédès, mangerait avec les SDF et dormirait à la belle étoile, du moins souvent, lui qui n'avait pas où poser sa tête alors que son Père veillait à ce que les renards aient une tanière. Matthieu 8,20.
    Très cordialement.
    Caron

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